L’activité physique est aujourd’hui validée en tant que thérapie non médicamenteuse dans de nombreux parcours de soins.
Répondant à ce besoin, Kiplin conçoit et opère des programmes connectés d’activité physique adaptée (APA). Au moyen d’une application mobile, les patients sont invités à « bouger-marcher » en prenant part à des aventures ludiques, collectives et connectées, ainsi qu’à des séances d’APA encadrées par un professionnel. L’analyse des données d’activité physique recueillies permet d’avoir une évaluation objective de l’impact des programmes déployés.
Kiplin fait la démarche d’adhérer à Atlanpole Biotherapies afin d’intégrer le réseau local des acteurs en santé et de bénéficier de l’expertise du pôle pour monter des projets collaboratifs avec ces acteurs.
Le 1er centre de lutte contre le cancer en Europe s’associe à Kiplin pour mener une étude
sur l’utilisation d’un dispositif de santé connectée
Comment promouvoir l’activité physique et améliorer l’état de fatigue de patientes ayant terminé leur traitement pour un cancer du sein ?
Le groupe de recherche sur « l’après cancer du sein », dirigé par le docteur Vaz-Luis de l’Institut Gustave Roussy, 1er centre de lutte contre le cancer en Europe, conduit actuellement – en partenariat avec Kiplin – une étude de faisabilité sur l’utilisation d’un dispositif de santé connectée. L’objectif est de comprendre les attentes de ces patientes vis-à-vis du sport et de l’activité physique et de recueillir leur avis sur la pertinence d’une solution de e-santé comme Kiplin pour les aider à effectuer davantage d’activité physique.
Cette étude comprend la participation à un challenge connecté Kiplin d’une durée de 2 semaines (en équipes associant patientes et chercheurs), avec la conduite de 2 entretiens de groupe animés par une sociologue avant et après challenge. Le contenu des 2 entretiens (enregistré et anonymisé) fait actuellement l’objet d’une analyse thématique par l’Institut Gustave Roussy afin de tirer les conclusions de cette étude.